Je dis un truc ; je fais le contraire

Comme d'habitude ... Donc une photo d'une fille (mais de dos, quand même).

Photo de l'été, des débardeurs, et des bretelles de soutien-gorges apparentes. Trainées de blanc sur la peau mate. Bretelles qui indiquent le soutien-gorge, donc les seins. Mats aussi, avec une auréole plus foncée. Peau, donc grains de beauté. Petites gouttes sombres, petites aspérité sous le doigt dans le plan soyeux du corps. Corps, donc toison pubienne, végétation indigène aux allures d'Eldorado. Donc, surtout, surtout, yeux mi-clos, mi-chavirés.

Tout cela dans le métro. Dernier endroit pour les déambulations de l'esprit et les rêveries luxurieuses.

Comments

[eldorado]

je ne sais plus qui a dit : "Un théoricien sans paradoxe, c'est comme un amant jamais jaloux : ce n'est pas bien sérieux"

[p.c]

L'esprit d'escalier!La pensée classique.

[eldorado]

jeanne> Oui, mais le modèle est bien aussi

prune> C'est vrai qu'ils sont au sol ; et que la fille ne semble n'en avoir aucun apparents :)

lesyeux> J'aime qu'on aime mes mots aussi : en l'occurence, je les aime aussi.

[lesyeux]

j'aime autant tes mots qui illustrent que les images elles-mêmes : de jolies épousailles

[prune]

Les contradictions sont toujours "porteuses"...

Sensualité du grain... de la photo... de la peau...

Les grains de beauté, je les vois surtout sur le sol.