18 mai 2006
Vide incongru
Parfois, je jette un oeil dehors. Et capte des instant de vide dans une ville surpeuplée, sur un des axes les plus bouchonneux de la cité. Comme si, sans que j'en sois prévenu, toute la population avait déserté, lasse du combat, ou avait décidé de se laisser terrasser par une grippe ultra-synchronisée. Et je me dis qu'il faudrait que je ratrappe les rares survivants pour leur demander qui, quoi, comment, et qu'est-ce qu'on fait maintenant. Mais je sais que ce n'est qu'une aberration lors d'un battement de cils. Ne nous énervons pas.
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